– Franz Hellens Amis carrés, étroits
Trois murs
Trois murs échelonnés
(Je me voudrais plus de souplesse)
Je les ai vus tout un hiver
Porter la nuit en équilibre.
Ils ont cette fierté des lignes
Qui ne peuvent changer
Mais j’aimerais moins de rigueur
Dans cet amour qui me protège.
Aussi j’ai peur, en ce printemps
Dont se fleurit le plus haut mur
Que cette crête d’anémones
N’emporte en se fanant
Le seul espoir que j’aie encore
De vivre au delà de mes bornes.
bl – 2m : octo; 6s: v.1, v.6, v.12