– Paul-Louis Rossi – in Sources, (Namur)
La bayadère
J’ai votre odeur sur moi
Violente qui venez me prendre
Dans un sillage chaque fois
Que la nuit se fait attendre
Je vois le buste et l’épaule
A la clarté d’une étoile
Et je ne voudrais plus laver
La main qui vous a touchée
Comme un animal fabuleux
Chaque soir qui désespère
Du désir de la bayadère
Qui ne reconnaît ni l’oeil
Ni la bouche que vient lécher
Votre corps miraculeux
bl – m.irr.