– Léon Deubel in Oeuvres
La fleur terminale
La mer joue à son miroir
Que les innombrables plumes
Des eiders de l’aube embrument
Effrayante et belle à voir.
Oh! glissez, vous que j’exhume
Formes d’un vain désespoir ,
Dans la tombe au linceul noir
Que la mer ouvre et parfume.
Mais, de grille, sans merci
N’entraînez pas le souci
Qui me point et me consume
Quand je tente de gravir
L’Alpe du flot, pour cueillir
L’edelweiss de son écume.
Q16 – T15 – y=x :d=b – 7s –