– Charles-Adolphe Cantacuzène L’au-delà de l’en-deçà
Sonnet
Oh! quand sous la nécrose
L’homme, encor plus vivant,
Souffre et se décompose
Et meurt énormément!
Mais le saint, cette rose,
En son embaumement,
Il ne se décompose;
Mais mort, il souffre tant!
Il souffre, le saint tendre,
De ne pouvoir attendre
Décomposition.
Les rayons de la grâce
Brûlent sur la surface
Du cadavre, glaçon.
Q8 – T15 – 6s