– Pierre Lecuire Sonnets funèbres
Sonnet XV
Toujours l’an redouté passant en beaux visages,
pourtant la mort en fit son demain,
soupçonneux à qui se suffit
de vouloir prolonger la main.
Son enfer affrontait les gouffres,
Simples grains lorsqu’il partit
A quelques pas d’une autre tête
Jaloux de ne pas couvrir sa tête.
Les petite maisons se dressent, du cap
la rafale de Mars
vêtue d’amande et de pin confondus
a creusé la marche souterraine,
la couleur confondue avec
la profonde entaille du ravin.
vL